Opérations :

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> Interrogation Hermès : Classification des missions.

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//Compte-rendu des types de missions effectuées par Division Farrell et de leur système de classification - Bureau des Opérations et de la Sratégie//

- Vue d'ensemble.
- L'analyse des journaux et informations.
- Les indics.
- Le tourisme.
- Les enquêtes.
- L'infiltration.
- Les interrogatoires.
- Acquisition de technologies
- Les opérations secrètes.
- La chasse.
- Les opérations militaires.
- Les enquêtes sur la Force.
- Les rapports.

[HRP : Les fiches qui sont disponibles ici visent à donner aux joueurs une idée de nos différents RP et ce à quoi ils peuvent s'attendre à devoir jouer en mettant les pieds dans la Division Farrell. Évidement, ce n'est ni exhaustif, ni exclusif : n'hésitez pas à poursuivre vos autres RP. /HRP]

Vu d'ensemble :

Les cellules DF mènent à bien un grand nombre d'opérations aux quatre coin de la galaxie. Il est quasiment impossible de répertorier toutes les menaces, réelles et potentielles, qu'elles doivent contrer, ainsi que les enquêtes, missions secrètes, projets de recherche et autre opérations de renseignement sont elle sont chargées. Toutes les informations qu'elles ramènent sont intégrées à Hermès, qui se charge ensuite de les vérifier, de les analyser et de les classer. Au fil des années, ce type de fonctionnement nous a permis d'établir un système de classification d'une grande simplicité, auquel toutes les cellules ont désormais recours. Il définit les types de missions qu'une cellule peut avoir à accomplir et facilite ainsi le travail de ceux qui souhaitent compulser les banques de données Hermès.

La liste qui suit détaille les opérations dont les agents DF se voient souvent chargées. Vous y retrouverez la manière dont ces missions s'accomplissent généralement, telle qu'elle est définie par le Bureau des Opérations et de la Stratégie de DF Prime. Ces suggestions sont basées sur les remarques de nombre d'agents expérimentés, aussi convient-il de les prendre au sérieux. Notez toutefois qu'il ne s'agit pas de directives fermes. DF est une organisation aux règles relativement flexibles, qui n'a jamais forcé ses agents à accomplir toutes les missions en appliquant le règlement point par point. Seuls les résultats comptent. Les nouvelles recrues ont tout intérêt à compulser ce dossier avec attention, car il leur donnera une bonne idée du type de mission dont elles pourront se voir charger.

L'analyse des journaux et informations télévisées/les indics.

Toute opération commence par un indice, aussi ténu soit-il, un événement inhabituel qui attire l'intérêt des membres de la cellule. Cette partie du travail est vitale car c'est elle qui détermine les activités de l'équipe. Les indices que l'on obtient peuvent être passifs ou actifs. Le spremiers sont ceux que la cellule découvre sans effectuer de recherche. Ils sont sont rares bien souvent d'une fiabilité douteuse. Un membre de l'équipe peut par exemple entendre une conversation par hasard, remarquer un espion alors qu'il rentre chez lui en voiture, ou encore recevoir un coup d'holocom ou un message anonyme (dans ce dernier cas, il convient de redoubler de prudence). les indices passifs sont presques exclusivement une question de chance, et il faut donc veiller à ne pas en dépendre exclusivement. Une cellule efficace sait aller chercher elle-même les indices dont elle a besoin.

Les indices actifs peuvent provenir de diverses sources, depuis une enquête en profondeur jusqu'à une opération de surveillance, en passant par un filtrage systématique des journaux pour y découvrir des signes de l'activité impériale. Hermès est programmé pour le faire en permanence, mais la cellule a intérêt à le faire de son côté, idéalement en assignant un l'un de ses membres à cette tâche, et ce 24h sur 24. L'analyse des médias et de l'holonet offre souvent de nombreuses pistes, qui ne mènent généralement nul part. Mais, de temps en temps ce type de recherche porte ses fruits, aussi aussi aucune cellule digne de ce nom ne peut-elle s'en passer.

Les indices actifs peuvent également être prodigués par les agents contacts et indics avec lesquelles la cellule est en contact. C'est le réseau qu'elle est parvenue à établir qui constitue le meilleur allié dès qu'il s'agit de recueillir des renseignements. il est extrêmement utile d'avoir des informateurs au d'organismes tels que le sénat, le SIS, l'armée, le conseil jedi. Ces indics peuvent communiquer les indice fiables concernant les impériaux et les siths. La cellule doit garder le contact avec ses sources et œuvrer pour en acquérir sans cesses de nouvelles.

Même si l'équipe n'a pas d'informateurs au sein d'un organisme donné, ce n'est pas pour cette raison qu'elle ne peut pas espérer en tirer les informations dont elle a besoin. Dans ce cas, une séance de piratage informatique, quelques pots de vin, bien placés, ou encore une visite nocturne aux fichiers de l'agence concernée permettent de résoudre le problème. La cellule ne doit reculer devant rien. La cellule ne doit reculer devant rien pour mener à bien sa mission. Elle ne peut se permettre de réagir à la progression de l'ennemi. Bien au contraire, il lui faut prendre les devants, ce qui signifie qu'elle doit en permanence rechercher de nouvelles pistes.

[HRP : La lecture des différents forums communautaires, des forums des autres guildes, et la découverte des RP proposés par les autres joueurs est une activité qui permet de faire vivre le serveur de manière RP. Le forum de la Division Farrell ne permet pas du tout de se passer de cette activité au contraire, c'est ce qui nourrit nos RP. Faire parti de la division Farrell ne doit pas vous limiter dans ses activités au contraire on vous invite à le faire régulièrement. /HRP]

Le tourisme :

Les membres de DF doivent savoir etre patients car ils passent le plus clair de leur temps à attendre. Ils ont tous un travail normal, comme les autres citoyens. Ce n'est que lorsqu'ils ont conscience d'une mission potentielle que la cellule se réunit pour agir. même là, il y a de bonnes chances que les agents se retrouvent à attendre, mais pas chez eux ou au bureau. En effet, ils sont souvent chargés de missions de surveillance. Dans le métier, ont dit généralement qu'ils font du "tourisme".

Ce type d'opération est souvent dénué d'intérêt pour les agents et la plupart d'entre eux ne l'apprécient guère. il est rare qu'elle leur permette d'acquérir le moindre renseignement utile. En effet, en temps normal, la piste qu'ils ont suivie jusqu'ici ne donne rien et il arrive qu'ils soient repérés par celui qu'ils sont chargés de surveiller. Par contre, lorsqu'une mission de ce genre est une réussite, c'est fréquemment le jackpot. Même si cette méthode demande un un temps considérable, elle peut prodiguer des informations qu'il est impossible d'obtenir de quelque autre manière que ce soit (par exemple, l'endroit où se situe la base opération impériale, ou encore l'identité d'un informateur à la solde d'un ennemi).

Il n'existe pas de mission de surveillance type, pour la bonne est simple raison que l'activité des impériaux peut prendre de nombreuses formes. Certaines cellules passent ainsi des mois à scruter une cantina dans l'espoir d'y voir une activité anormale. En temps normal, ces opérations de surveillance sont toutefois décidées suite à des indices concrets. Bien souvent l'individu espionné (la "cible") l'est car la cellule soupçonne d'entretenir des liens avec les impériaux. La surveillance a deux raison d'être : obtenir des preuves et obtenir de nouvelles pistes. Il n'est pas rare qu'une mission de surveillance mène à une autre et ainsi de suite.

La plupart des cellules procèdent à l'aide de matériel électroniques (micro, caméras cachés etc...). Cela leur permet d'opérer de loin, et donc de réduire les risques. Mais il est parfois nécessaire d'avoir un agent sur place et un guetteur. Les cellules effectuant ce type de missions ont tout intérêt à réaliser un enregistrement visuel et sonore de la cible. Il arrive parfois que les informations que l'individu surveillé communique à son corps défendant le soient par ses gestes et non par ses dires.

Les agents doivent rester cachés et espérer que la cible commettra une erreur à un moment ou un autre. Si nécessaire, la cellule doit faire comprendre à ses éléments les plus indisciplinés qu'ils ne doivent pas agir contre la cible tant que cette dernière se trouve sous surveillance, à moins que cela ne devienne absolument nécessaire. En général, si l'on agit trop tôt, on risque en effet de compromettre l'opération et de perdre toute chance d'obtenir la moindre information par la suite. Bien souvent l'agent chargé de la mission doit prendre la décision seul mais dans le doute, il vaut mieux faire preuve de prudence que d'impétuosité.

[HRP : Vérifiez avec les joueurs concernés en /w, une fois les renseignements pris, que la manière dont vous avez pris les renseignements est bien possible en RP
Exemple : Mon personnage a entendu une conversation de loin parce qu'il a placé la table un micro sur laquelle les joueurs discutent, j'envoie un /w pour demander si les joueurs sont d'accords pour jouer ce RP, et s'ils n'ont pas de matériel brouillant les écoutes sur eux. /HRP]

Les enquêtes :

Une fois qu'une piste prometteuse est découverte, la cellule doit mener une enquête approfondie sur le sujet, ce qui est bien souvent le prélude à d'autres missions, en fonction des renseignements obtenus. Toute cellule doit posséder de grandes capacités d'investigations et tout faire pour améliorer sans cesse, car c'est de là que proviendra son succès. Le bon déroulement d'une opération dépend presque toujours de la qualité des informations sur laquelle elle repose. Combinées aux missions de repérage et/ou surveillance, ce sont les enquêtes qui procurent à l'unité les renseignements dont elle a besoin pour planifier ses opérations.

Les enquêtes peuvent prendre des formes extrêmement diverses. Bien souvent, les membres de la cellule doivent descendre dans les rues et interroger toutes sortes de personnes. Il est donc très utile qu'un membre de l'équipe possède des papiers lui permettant de questionner qui il le souhaite. Les se montrent bien plus coopératifs lorsqu'ils se trouvent face à une autorité. Attention, toutefois, car il ne s'agit pas là d'une règle absolue, surtout lorsqu'on a affaire à un criminel. Les agents doivent donc donc réfléchir à l'impression qu'ils donnent aux individus qu'ils leur faut questionner. Avec les civils n'ayant rien à se reprocher, c'est souvent le policier strict mais sympathique qui emporte l'adhésion. Pour interroger un militaire, on préférera un officier, mais il faut revoir totalement la stratégie si l'ont s’intéresse aux hors-la-loi. Selon leur personnalité, ces derniers acceptent parfois de parler à d'autres criminels, ou lorsque qu'on les menaces. Quoi qu'il en soit, nous conseillons aux agents de se préparer à l'interrogatoire en répétant une ou plusieurs "couvertures" plausibles (expliquant pourquoi ils posent des questions). Plusieurs fausses pièces d'identités sont également recommandées.

De nos jours, toute unité désireuse de mener des enquêtes véritablement approfondies se doit d'avoir dans ses rands un spécialiste de l'informatique. Naturellement, il est encore plus utile d'avoir un collègue ayant accès aux informations secrètes. Malgré cela, les datapad ne recèlent pas la totalité des renseignements, aussi n'est-il pas rare que les agents doivent compulser des holocrons, registres, et autres cartes. Même dix ans après le TC, la cellule ne doit jamais oublier combien une salle des archives ou une bibliothèque bien achalandée peut s'avérer indispensable.

Si l'enquête porte sir des sujets en rapport directe avec la technologie impériale, un scientifique compétent est un atout précieux pour la cellule. Il est essentiel d'avoir sur place un agent qui est capable de comprendre, ne serait-ce que de manière intuitive, les organismes ou objets technologiques qu'il pourrait rencontrer. De la même manière est formé à réfléchir de manière radicalement différente, ce qui peut lui permettre de remarquer des détails qu'une enquêteur plus conventionnel laisserait passer. Le problème, bien évidement c'est que ce même scientifique perd une grande valeur s'il ne dispose pas d'un laboratoire bien achalandé dans lequel effectuer ses recherches.

Une bonne part de l'enquête nécessite de brasser des tonnes de gigabytes de données pour découvrir quelques brides d'informations qui ne seront utiles qu'aux agents et que personne d'autre ne pourrait même remarquer. De telles recherches demandent énormément de temps et sont rarement la spécialité des cellules DF. S'ils ont besoin d'aide, les agents doivent faire appel à leurs nombreux contacts. Il est possible de confier le travail de recherche à des gens ne faisant pas partie de la cellule, à condition que ces derniers n'aient pas conscience de l'objectif final de leur tâche. Vouloir gagner du temps est louable mais pas au point de faire preuve de laxisme en matière de sécurité. Par contre, du moment que le contact ignore à quoi pourra servir ce qu'il est en train de faire, son aide est la bienvenue.

Les sujets d'enquêtes possibles sont bien trop nombreux pour que nous les évoquions tous. Cette activité est la plus importante de tous celles que la cellule peut avoir à mener, et il convient donc de la préparer et de l'exécuter avec le plus grand soin. En effet, c'est sur l'enquête que sont bâties les opérations suivantes et toute erreur à ce stade de la mission verra son amplitude décuplée aux stades ultérieurs. Les agents doivent toujours garder le contrôle de leurs actes et faire de la sécurité et du secret leurs priorités absolues. Enfin, il leur faut également noter, de manière précise et concise, tout développement de leu enquête. Cette précaution leur permet de transmettre leurs découvertes à leurs collègues sans risquer de les oublier, mais attention toutefois, car un carnet non-codé tombant entre les mains de l'ennemi serait une véritable catastrophe.


[HRP : Dès qu'il s'agit d’interactions avec un autre joueur ou un MJ, toutes les actions d'enquêtes et recherches doivent être validés par la MJ. Utilisez le MP in-game ou sur un forum est très pratique pour cette action. Veillez à vous mettre d'accord avec les joueurs concernés en /w. /HRP]

L'infiltration :

Les missions d'infiltration sont peut-être celles qui présentent le plus de danger. Mais elles permettent généralement d'obtenir des résultats fantastiques qui justifient amplement les risques consentis. De tous temps les espions se sont livrés à ce genre d'exercices, et même les policiers et services de sécurités. Il consiste à faire entrer un des siens dans une organisation ennemie, la "taupe" devant se faire passer pour un membre du groupe adverse. En fonction de l'organisme visé, cela peut-être extrêmement délicat ou au contraire, ridiculement simple. Toutes nos cellules sont composés d'infiltrateurs, puisque nos agents travaillent officiellement pour un un organisme officiel... et ouvrent en secret pour la Division Farrell.

Quelle que soit leur nationalité, les espions passent généralement leur temps à infiltrer les agences galactiques, et les membres de la DF n'ont aucun mal à faire de même. A l'heure actuelle, la république recèle tellement d'agents doubles et d'espions que nos hommes n'ont aucun mal à se fondre dans la masse. Et il ne faut pas oublier que nous combattons, nous aussi, pour la république galactique. Même le fait d'infiltrer une agence sénatoriale ou un protectorat voir l'empire, n'est pas aussi dangereux qu'on pourrait le craindre. Certes l'agent risque d'être envoyé en prison (et même parfois exécuté) mais cela est extrêmement rare. Maintenant que la Guerre-Froide liée au TC est achevée, peu d'agences peuvent se vanter d'avoir un service de contre espionnage digne de ce nom. Les agents doivent toutefois agir avec la plus grande prudence lorsqu'ils s'infiltrent dans l'empire. Une fois encore, le secret est vital.

Les véritables spécialistes de l'infiltration se révèlent lorsqu'ils parviennent à intégrer les Services Secrets Impériaux ou des groupes du Conseil Noir. Ces missions sont extrêmement périlleuses, mais les résultats obtenus en valent généralement la peine. Les impériaux se sont insinués à tous les niveaux de notre société et agissent par l'intermédiaire de pions. Quand une cellule prend conscience de l'existence d'un tel groupe de pantins, elle doit commencer par se demander comment elle peut y introduire un de ses membres. Une telle opération nécessite bien évidement une excellente planification. La fausse identité de l'agent infiltré doit être sans faille (papiers passé appris par cœur, "parents" et "amis" prêts à jurer qu'il est bien qui il prétend être etc;) et il doit avoir une bonne raison pour vouloir rejoindre le groupe qu'il cherche à espionner.

Une fois l'agent implanté dans l'organisation adverse, il lui faut pouvoir communiquer avec sa cellule. Cette dernière doit en permanence se tenir prêt à voler au secours de l'agent isolé, car celui-ci peut être découvert à tout moment. Pour que l'infiltration soit pleinement réussie, l'agent doit souvent attendre des semaines voire des mois ou des années, avant d'avoir accès à des informations vraiment utiles. Durant ce long laps de temps il doit "vivre" totalement son identité secrète, sans jamais se trahir. N'oubliez pas que les périls qui guettent un espion normal ne sont rien en regard de ceux auxquels doit faire face un agent infiltré dans une opération dirigée par des impériaux. De nombreuses causes peuvent entrainer sa perte, qu'il s'agisse de la Force obscure, de la technologie impériale ou la perversité des Sith.

[HRP : Si votre personnage souhaite infiltrer une autre guilde qu'elle soit impériale ou républicaine : prenez soin d'en prévenir au moins le GM, quitte à ce que les autres joueurs ne soient pas au courant, mais cela est à voir avec lui directement via MP et en privé. Suivant comment vous vous mettez d'accord avec lui, soyez fair-play !! N'hésitez pas à participer à la vie de la guilde "infiltrée" et gardez de bonne relations HRP avec eux, même quand la mission prendra fin, pour X raisons. /HRP]

Les interrogatoires :

Il ne faut jamais laisser passer l'occasion de faire des prisonniers et de leur soutirer des renseignements. Toute cellule se doit d'avoir un spécialiste en interrogatoires. En effet, les agents entrent souvent en contact avec des informateurs qui en savent plus qu'ils ne veulent bien le dire, mais aussi avec des témoins récalcitrants (sans même parler d'agent impériaux ou de sith). Il est parfois nécessaire de se montrer persuasif pour faire parler les individus et la fin justifie toujours les moyens. Cette méthode d'acquisition des informations est l'une des plus fiables qui soient.

Les témoins récalcitrant sont les plus faciles à convaincre. En règle générale, il s'agit de gens qui ont vu quelque chose d'important mais qui ont peur d'en parler. Ils ont par exemple aperçu un Chiss, à moins qu'ils n'aient été approchés par les impériaux ou qu'ils aient jeté un coup d’œil à un document secret. L'interrogatoire peut aborder le problème sous deux angles radicalement différents : en convaincant le témoins que la cellule constitue son unique espoir de survie ou, au contraire, en le menaçant (auquel cas il faut lui promettre quelque chose de pire que ce qu'il craint déjà). Ces deux tactiques peuvent s'avérer utiles, en fonction du cas de figure rencontré, et l'agent a tout intérêt à les maitriser sur le bout des doigts et à choisir celle qui lui semble le mieux convenir en fonction de la personnalité de son vis-à-vis. Quand on ne connait pas la personnalité exacte de l'individu en face de nous, il n'est pas rare de succéder alternativement les deux méthodes. Dans ce cas, il est préférable que deux agents se mettent d'accord l'un menaçant, l'autre compréhensif : il s'agit là de la méthode du "bon flic et du mauvais flic". il est préférable de ne pas mélanger les deux tactiques, mais cela permet parfois de mettre suffisamment la pression à l'individu pour le faire craquer. Il est inutile d'avoir recours à la force physique lors d'un interrogatoire de ce genre, sauf de manière très mesurée, pour le faire réagir (en le giflant, le poussant, etc.) Car il ne faut jamais oublier que la cellule a affaire à un individu normal, pas un professionnel.

Avec les pros, l'approche doit être bien plus méthodique. Il ne faut pas se presser, sous peine de tout gâcher (sauf en cas d'urgence). Les détecteurs de mensonge sont inutiles dans de telles situations, car tout professionnel digne de ce nom sait les abuser. Face à un utilisateurs de la force, la force sera inutile aussi. Les sérums de vérité, tels que le penthotal, ont de meilleures chances de fonctionner, aussi est-il bon d'en avoir toujours une petite réserve sur soi. Mais, au bout du compte, tout se résume à une lutte d'endurance entre l’interrogateur et son prisonnier. Il faut épuiser mentalement ce dernier jusqu'à ce qu'il craque. Ce n'est qu'à ce moment que le véritable interrogatoire commence.

Il faut des heures d'efforts ininterrompus pour vaincre la résistance morale morale du prisonnier. L'agent doit commencer par le mettre dans une situation inconfortable et intimidante. Les interrogatoires policiers sont souvent un bon début. Ils consistent à poser encore et toujours les les mêmes questions au prisonnier, jusqu'à ce qu'il finisse par se contredire. Les menaces et les offres d’assistance peuvent servir à l'affaiblir. Si la cellule dispose de suffisamment de temps, il est bon de fausser totalement les repères temporels du sujet. En quelques jours seulement, il est ainsi possible de lui faire croire que plusieurs semaines ont passé. Pour peu qu'il ingurgite de la nourriture contenant un somnifère, il peut très bien croire qu'il a dormi une nuit entière, alors que son sommeil n'a en fait duré qu'une petite heure. Pour sa part l'interrogateur n'a qu'à changer de vêtements et à souhaiter le bonjour à sa victime lorsqu’il la rejoint. Plus le prisonnier sentira que l’interrogatoire se poursuit, plus il se laissera envahir par le désespoir.

Il faut toujours offrir une porte de sortie à l'individu interrogé, ce qui lui fournira la justification morale dont il a besoin pour trahir. S'il a l'impression qu'il est enfermé depuis plusieurs semaines, les informations qu'il détient ne sont peut-être plus d'actualité (du moins, pour lui). dans ce cas, il est aisé de lui expliquer que ses déclarations ne risquent plus nuire à ses amis. L'interrogateur peut également lui faire croire qu'il sait déjà tout et qu'il attend juste une confirmation. Cette ruse réduit la culpabilité du sujet, et donc, généralement, le temps qu'il faut pour le faire céder.

D'expérience nous rejetons la torture physique. Mais il est parfois nécessaire d'avoir recours à la violence physique. N'oublions pas que nous sommes en guerre, et que cela nous oblige à utiliser des méthodes déplaisantes sans pour autant dépasser les bornes. Contrairement à ce que nous voyons dans des séries holo-télévisuels de mauvaises qualités ce n'est pas la souffrance physique en elle même qui fait parler un individu, mais bien la peur de la souffrance. De plus un individu normal inventera toutes sortes d'histoires fantaisistes pour faire plaisir à son tortionnaire. La torture est donc le meilleur moyen d'obtenir de fausses informations et d'aboutir à la mort du prisonnier.

Le fait de s'en prendre directement au sujet n'est donc pas le meilleur moyen de le forcer à parler. Il est déjà arrivé que des cellules de la Division menacent la famille et les amis de leur prisonnier pour venir à bout de l'entêtement de ce dernier. Cette tactique est très efficace contre certains individus, mais elle reste sans le moindre effets sur d'autres et plus particulièrement ceux qui sont au service du Conseil Noir. Dans ce cas, les agents peuvent menacer de trahir le sujet, en le laissant savoir à ses maîtres qu'il leur a tout révélé. Bien souvent, ces pions ont en effet plus peur de leur maître que de tout ce que notre organisation peut leur faire subir.

Enfin, le meilleur atout de l’interrogateur est égalent le plus difficile à se procurer. Si l'un des membres de la cellule ne rechigne pas à utiliser la force obscure il peut tenter d'influencer le sujet pour qu'il lui donne les réponses avec une grande fiabilité, et le plus souvent en secret. (c'est à dire sans qu'il se rende compte qu'il parle à ses interrogateurs). Parfois il peut même sonder l'esprit de ce dernier à distance sans qu'il y ait besoin de cellule, no de locaux pour l'interrogatoire.

[HRP : N'oubliez pas que vous travaillez pour le Conseil Jedi durant un interrogatoire. Vérifiez aussi que le joueur a bien conscience de ce qui arrive à son personnage dans ce type de situation en lui envoyant des /w /HRP]

L’acquisition des technologies.

Chaque cellule de la DF a pour mission d'en apprendre autant que possible sur les impériaux, car ce n'est qu'en connaissant notre ennemi que nous pourrons un jour espérer le vaincre. Tout exemple de la technologie impériale est donc d'une importance vitale pour nous. Si les agents en découvrent au cours d'une de leurs missions, ils doivent tout faire pour s'en emparer. Parfois, cette acquisition constitue même l'objectif principal de l'opération. Plusieurs types de missions se concentrent sur la récupération de restes ou de matériel impériaux.

L'exemple le plus fréquemment cité est l'exploration des vaisseaux impériaux endommagés ou crashé. Bien évidement l'armée républicaine et le SIS est mieux équipé que nous pour mener ce genre d'opération, mais cela ne doit pas empêcher nos agents de faire de même lorsqu’ils en ont l'occasion. Chaque fois qu'une cellule apprend qu'un vaisseau ennemi s'est écrasé, elle doit envoyer quelqu’un sur le site de l'accident pour s'assurer qu'une agence républicaine s'occupe du problème. Une affaire aussi brûlante ne doit jamais être laissé entre les mains des autorités locales. La cellule la plus proche est chargée de veiller à ce que le grand public continue d'ignorer l'existence de la potentialité des informations qui seront recueillies. Elle ne doit pas ménager ses efforts pour faire disparaître les restes du crash ou les confier à un organisme responsable.

Mais récupérer les technologies impériales est souvent plus facile à dire qu'à faire. Par exemple, comment faire pour déplacer une navette écrasée ? La cellule a tout intérêt à se préparer à ce type d'opération avant qu'elle ne devienne nécessaire. Il faut donc avoir accès à tout moment à des vaisseaux cargo permettant de transporter des masses importantes jusqu'en des lieux secrets. dans le même temps, il convient d'avoir au moins une planque sûr où entreposer les objets récupérés. Si les agents pensent que le vaisseau écrasé est trop gros pour qu'ils puissent s'en occuper, ils doivent sans attendre contacter quelqu'un de compétent, qui prendra la relève. En attendant que l'aide arrive, ils doivent ensuite garder le site et veiller à ce qu'aucun civil ne puisse en approcher.

Une fois la récupération effectué, la cellule peut se livrer à des recherches exhaustives. Toutes ne possèdent toutefois pas l'équipement nécessaire, et nombre d'entre elles n'ont d'autre solution que d'avoir recours à des laboratoires indépendants. Dans ce cas, il convient de faire preuve d'une grande prudence pour que le secret soit bien gardé. Une fois que les agents ont appris tout ce qu'ils pouvaient, ils doivent transmettre leurs informations à Hermès et passer les restes (organiques ou mécaniques) à une autre cellule, s'ils en connaissent une ou bien les détruire sans laisser la moindre trace derrière eux.

Les opérations secrètes :

Il n'est pas rare qu'une cellule doive effectuer des missions qui sont plus du recours habituel des forces de la police, de l'armée, voire des organisations criminelles. En effet, il est souvent nécessaire de commettre des actes répréhensibles pour mener l'enquête à bien. Les agents de la DF doivent être prêts à accepter ces "opérations noires", car elles sont souvent vitales pour nous. Elles peuvent prendre de nombreuses formes différentes, aussi ne présentons nous là que les plus fréquentes.

*l'effraction*

Pour trouver des renseignements sur les activités impériales, il faut souvent pénétrer illégalement dans divers locaux. Ce type d'opération est généralement décidée lorsque les agents sont raisonnablement sûr de trouver de trouver des informations importantes sur le site. Pénétrer par effraction dans des lieux choisis au hasard ne donne jamais rien de bon et se termine souvent mal.

Pour que l'effraction soit réussie (autrement dit, discrète), les agents doivent savoir à quoi ils ont affaire. Il faut éviter les gardes, neutraliser les systèmes de sécurité et pirater les serrures. Parfois, un bon coups de sabre laser suffit pour venir à bout des portes fermée, mais il est également possible que l'opération nécessite plusieurs heures de préparatifs. Les agents doivent réfléchir au problème sous tous les angles avant de déclencher l'opération. Nous les encourageons bien évidement à limiter le nombre de victimes civiles, car plusieurs gardes abattus ne peuvent qu'attirer l'attention.

Une fois que les membres de la cellule se sont introduits où ils le souhaitaient et on récupéré ce qu'ils étaient venus chercher , il leur faut penser à effacer toute trace de leur passage. Il faut tant que possible essayer de faire croire que l'effraction a été perpétrée par des criminels de droit commun. Pour ce faire, il suffit généralement de voler tout ce qui a de la valeur (et est aisément transportable) et de renverser tout le reste. Même si les agents cherchent uniquement à récupérer un fichier data, ils ont tout intérêt, après coup, à casser le datapad et à saccager le bureau. La victime et la police ne doivent en aucune façon comprendre pour qu'elle raison les locaux ont été envahis.

Mais l'effraction n'est pas l'unique moyen de pénétrer quelque part, bien au contraire : nombre d'agents préfèrent entrer où ils le souhaitent le plus légalement du monde, en faisant appel à leurs contacts pour se procurer des faux mandats de perquisition (ou badges). Ils peuvent alors fouiller à leur gré, sans s'inquiéter de tout dévaster derrière eux. Bien évidement, "récupération de technologie" n'est pas le genre de justification qu'il faut inscrire sur un mandat. Les mobiles préférés sont généralement "possession de stupéfiants" et "fraude fiscale", ce qui permet de procéder à une fouille méthodique des locaux (dans le premier cas) et de l'ordinateur (dans le second). Le problème, c'est que la cible sait qui procède à la perquisition, et pourquoi. IL est donc conseillé d'utiliser de faux papiers.

*l'enlèvement*

Il arrive que les agents rencontrent des individus qu'ils aimeraient bien interroger au calme. Quand ceux-ci se refusent de coopérer, ou quand ils constituent une menace pour notre organisation, la république, ou tout autre cause pour laquelle nous nous battons, la cellule parfois n'a d'autre choix que de les capturer. L'enlèvement est une pratique courante au sein de notre organisation, surtout lorsque nos hommes se se retrouvent face à des jedi obscures ou des sith qui auraient une chance sur Tython de retrouver le chemin vers la lumière.

Pour que la mission se déroule sans anicroche, elle doit être planifiée dans ses moindre détails et exécutée extrêmement rapidement. La cible doit être prise en filature plusieurs jours durant, ce afin que les membres de la cellule notent bien ses habitudes et les éventuelles mesures prises pour assurer sa protection. Lorsque le temps est compté, il n'est pas toujours possible d'effectuer ces préparatifs. dans ce cas, les agents doivent être armé jusqu'aux dents, plus nombreux qu'une telle opération ne le nécessiterait en temps normal, et prêt à tout. L'enlèvement doit se dérouler rapidement et, si possible en l'absence de témoins. Plus la cible est prise de cours, moins elle aura de chance de réagir. Si jamais l'opération doit forcément s’opérer en public, elle devra être plus rapide encore. Dans ce cas de figure, l"équipe kidnappe la cible à même la rie : une navette se gare, deux ou trois hommes en descendent, la victime est saisie et jetée dans dans la navette qui redémarre aussitôt. L'individu enlevé ne doit pas avoir où on l'emmène, ni pourquoi on lui fait subir un tel traitement. La planque censée l'accueillir doit avoir été préparée au préalable, et la cellule devra l'y conduire sans perdre de temps. Une fois cela fait, on passe généralement à la phase d'interrogatoire.

Comme pour ce qui est de l'effraction, l’enlèvement peut-être grandement facilité si les agents bénéficient d'une couverture légale. Une fois encore, des faux papiers et un faux mandat d'arrestation suffisent amplement. Où que la cible se trouve les agents "l'arrêtent" et l'entrainent en un lieu n'ayant rien à voir avec un poste de sécurité. Sachant ce qui s'est produit, les amis de la victime risquent de prendre beaucoup de temps à la rechercher là où elle n'est pas, ce qui permettra à la cellule de disparaître dans la nature avec son prisonnier. Le revers de la médaille, c'est que ce type d'enlèvement se déroule généralement au vu et au si de tous, ce qui implique que l'ennemi peut apprendre immédiatement que la cible a été kidnappée. Afin d'éviter cela, les agents ont intérêt à venir la trouver chez elle, le soir, quand elle se trouve en famille. En fonction des circonstances, il n'est pas impossible que des proches doivent être enlevés, eux aussi.

*l'assassinat*

Malheureusement, il y a également des cas de figure dans lesquels la cellule n'a pas la possibilité de parler avec la cible ou d'éviter le combat. quand tout montre que cette dernière est au service des impériaux, il faut absolument mettre un terme à ses opérations. La seule option viable consiste alors à la tuer avant qu'elle n'ait le temps de mettre les plans de ses maitres en action. Les agents ne doivent pas tuer à la légère, mais il ne faut pas non plus rechigner à le faire lorsque cela devient nécessaire. N'oubliez jamais que nous sommes en guerre et que les morts sont inévitables, même chez les civils. Il faut limiter les effusions de sang au maximum, mais pas au prix de la sécurité galactique.

En fait, l'assassinat est l'une des missions les plus simples qui soient. Il est bien plus aisé abattre quelqu'un que de l'enlever pour l’interroger. Il existe de multiples façon de tuer un homme. Bien évidement, la situation est parfois plus complexe, surtout lorsque la cible est gardée. C'est pour cette raison que l'opération doit être planifiée avec soin, même quand elle paraît facile. Chaque fois que nos agents s'apprêtent à faire usage de la force, ils doivent partir du principe que la cible est capable de riposter de la même manière. C'est d'ailleurs la seule raison qui pousserait un jedi à devoir en arriver à une telle limite.

La chasse :

La chasse est sans doute la mission la plus dangereuse dont les agents DF peuvent être chargés. Elle a pour seul et unique but d’éradiquer les impériaux dans une région donnée. Selon l'ampleur de l'opération, la cible peut être un Sith ou un dignitaire du régime, mais il peut aussi s'agir d'une base entière. Les dangers que comportent une telle mission sont évidents. Les armes adverses sont souvent terribles, aussi nos hommes doivent-ils commencer par réunir toutes les informations possibles sur leur cible. Combien d'impériaux sur place ? Quelles armes risquent-ils de posséder ? Quelle est la nature de leur activité ? Il est essentiel d'acheter des cartes détaillés de la zone et prévoir plusieurs itinéraires de fuite. De même, les agents ont tout intérêt à agir vite, et en utilisant tout leur arsenal, ce afin de limiter autant que possible les pertes dans nos rangs.

Lorsqu'une cellule part en chasse, elle doit bien évaluer l'importance de la cible par rapport à deux facteurs vitaux, la sécurité et la publicité. Si la cible choisie doit être éliminée, c'est a priori, qu'elle constitue une menace. Mais garder le secret sur l'opération risque de s'avérer difficile. En effet, si les agents se retrouvent face à des sith, il y a de fortes chances pour que leur affrontement attire l'attention de nombreux témoins. il faut donc agir avec discrétion, si possible et avoir une couverture crédible si des importuns arrivent sur le lieu de l'opération. Ils doivent donc posséder tous les faux papiers nécessaires pour pouvoir chasser représentants de la loi locaux et journalistes un peu trop fouineurs. Enfin il est vital qu'ils fassent disparaître toute trace de leurs présences.

Les opération militaires :

Comme nous l'avons dit et répété la Division Farrell est en guerre même si la plupart des batailles de cet affrontement se déroulent dans l'ombre loin de l'attention du public. Elle repose généralement sur l'influence, les stratagèmes et les missions secrètes, mais il arrive également que nous ayons recours à des opération de type militaire. Toutes les cellules se retrouvent un jour dans une situation où combattre en secret n'est plus possible. Dans ce cas, il ne reste plus qu'à rassembler tout le monde et à sortir les blasters. Et, quand on a recours à la force, il faut espérer que les ressources que l'on possède sont supérieurs à celles de l'ennemi.

Nul besoin de préciser que cette tactique ne doit être utilisée qu'en ultime recours, car elle présente de nombreux inconvénients. Elle est dangereuse, peut révéler l'identité des agents à l'adversaire, risque de se traduire par des morts dans nos rangs et , surtout, a de bonnes chances d'échouer. En effet, toute attaque déclenchée contre les siths sera forcément sanglante.

Si l'on veut parvenir à vaincre les impériaux, il faut les attaquer en nombre, avec des armes adaptées, et en suivant un plan d'action préparé avec soin. Avant de se lancer à l'assaut, la cellule a tout intérêt à faire appel à toutes les ressources dont elle dispose, tant en termes d'équipement que d'alliés, puis à revoir si la mission lui paraît faisable. L'aide d'un stratège militaire est précieuse dans ce type d’opération. Si les agents ne sont pas équipé comme il convient, il leur faut repousser l'attaque jusqu'à ce qu'ils aient eu le temps de faire appel à leurs contacts. Ils doivent être prêt à tout, s'attendre à subir de lourdes pertes, et ne jamais oublier le précepte de base en cas d'affrontement armé : aucun plan, si censé soit-il, ne survit jamais au contact de l'ennemi.

Les enquêtes sur la Force :

Les affaires relevant de la Force et ses manifestation constituent un défit passionnants pour les cellules DF. il est souvent lié à l'activité Sith ou la présence d'artefacts. Les phénomènes liés à la force étant par nature si variés, il n'y a aucune règle à suivre lorsque l'ont se retrouve en leur présences. La cellule doit évaluer le danger que présente le phénomène de force. La Division Farrell est un bouclier dressé entre la république et nos ennemis, les phénomènes doivent être contrés mais il faut aussi les étudier.

Comme d'habitude, tous renseignements obtenus doivent être transmis à Hermès pour que tout DF en bénéficie. Si les membres d'une cellule ne se sentent pas de taille à faire face à un tel phénomène ils ne doivent pas hésiter à faire appel aux spécialistes jedi.

Les rapports :

Il ne s'agit pas là d'une mission en soi, mais de la conclusion logique de toute opération. Un bon rapport est un atout vital pour la survie de la DF. Compte tenu de la force de l'adversaire, il est criminel de gaspiller des informations en ne les transmettant pas. Des rapports minutieux et fréquents doivent être envoyé à Hermès. Chacun d'entre nous tire profit des rapports rédigés par les autres. N'oubliez jamais qu'un jour ou l'autre vous devrez la vie au renseignements contenus dans le rapport d'un collègue. Il est donc normal de lui renvoyer l'ascenseur.

[HRP : Plus vous partagez vos RP, plus vous gagnez des points de ressources qui permettent à votre cellule d'acquérir du matériel, à voir avec les MJ. Le but est d'encourager les RP. /HRP]