Au fur et à mesure que la DF s'est développée, des problèmes ont commencé à se faire sentir au niveau de la communication et de la chaîne de commandement. Même si les diverses unités ne devaient avoir de contacts qu'avec leur cellule mère et leurs cellules filles, DF Prime devait rester informée des agissements de tous ses agents. Dans les premiers temps, les rapports rédigés par les membres de chaque cellule atterrissaient systématiquement sur l'un des bureaux de DF Prime, mais ce mode de communication directe était par trop risqué et l'on chercha donc à en établir un autre. La solution trouvée fut baptisée Hermès.
Le réseau Hermès actuel n'est relié à aucun ordinateur extérieur, et les agents qui utilisent les terminaux du réseau ne peuvent s'en servir pour envoyer des messages externes ou sur des sites d'informations publics. Il faut une autorisation spéciale pour se voir accordé l'accès et il doit effectuer toutes les procédures requises. Les terminaux Hermès fonctionnent par reconnaissance rétinienne, ADN et vocale. Il fait la taille d'un paquet de cigarette. La procédure pour accéder aux informations est précise, et protégée par de nombreux mots de passes et procédures précises afin de constituer un rempart. Entre des mains inconnues le terminal s'autodétruit.
Dans le cas fortement improbable où un intrus parviendrait à infiltrer le système, il n'arriverait à compulser que les dernières données consultées par l'agent à qui appartient la console. Si l'agent ne se manifeste pas toutes les 48h le terminal s'autodétruit.